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    Bonjour Mes Ami(e)s,

     

     

    Pierre.jpg

     

    Comme je vous le disais hier, dimanche, je n’étais pas chez moi …

    nous nous sommes tous retrouvés pour une célébration à la mémoire

    de Mon Frère Pierre, dit Pierrot, ou encore Petit Pierre,

    parti trop tôt, trop jeune,

    le 12 avril 2001, quelques semaines après ces 39 ans …

    Beaucoup d’émotions, durant cette célébration …

    de très belles chansons, dont "On se retouvera" de Francis Lalanne,

    de très beaux textes, également, lus par les uns et les autres …

    personnellement, j’ai lu le très beau texte écrit par le

    Chanoine Henry Scott-Holland 

    (attribué parfois, à tort à charles Péguy ou à Saint-Augustin) :

     

    L'Amour ne disparaît pas, je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.

    La mort n'est rien, je suis seulement passé dans la pièce d'à côté.

    Je suis moi, tu es toi.

    Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours.

    Donne moi le nom que tu m'as toujours donné

    Parle moi comme tu l'as toujours fait

    N'emploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel et triste

    Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.

    Prie, souris, pense à moi, prie pour moi.

    Que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre.

    La vie signifie, ce qu'elle a toujours signifié.

    Elle est ce qu'elle a toujours été.

    Le fil n'est pas coupé.

    Pourquoi serais-je hors de ta pensée.

    Simplement parce que je suis hors de ta vue.

    Je t'attends. Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.

    Tu vois, tout est bien.

     

     

     

    Je ne résiste pas à vous livrer le très beau texte écrit par Mon Neveu Brice

    (le Fils de ma Soeur) … qui n’avait pas 1 an lorsque Pierre nous a quitté et qui a composé ce qui suit du haut de ses à peine 11 ans :

     

    A Pierre,

    Je te connaissais qu’à peine.

    C’est si loin que je ne m’en souviens plus.

    Aujourd’hui, cela fait 10 ans que tu es mort d’un arrêt du cœur.

    Mais si je ne me rappelle plus de TOI, je sais que tu étais bon et que tu ne méritais pas de finir comme çà.

    Mais si je ne te vois pas avec les yeux, je te perçois avec mon cœur

    Mais au moins je sais que tu m’entends.

     

     

     


    Cher Pierrot, tu vois, nous ne t’avons pas oublié,

    tu restes à jamais dans nos cœurs.

     

    Tes Parents, Sœurs, Frères (dont un Ami cher à mon cœur, qui pour nous est un Frère), Belles-Sœurs, Beaux-Frères, Nièces, Neveux et Petit-Neveu.

     

    k88j47ki Merci d'avoir pris le temps de me lire.

     

    Je vous souhaite à Toutes et Tous une

     

    Très Belle Journée

     

    et vous retrouve rapidement ;

     

    Prenez grand soin de VOUS …

     

     

     

     


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    Pierre

     

    Aujourd’hui 12 avril, je n’oublie pas que cela fait 9 ans

    que tu nous as quitté …

    9 ans … c’est long … c’est court … c’était hier …

    tu manques toujours à l’appel.

    Pierrot, j’espère que tu as trouvé un monde meilleur en nous quittant.

    Tes Parents, Sœurs, Frères, Belles-Sœurs, Beaux-Frères,

    Nièces et Neveux, et ce Petit-Neveu né il y a 1 an, et

    tous tes Ami(e)s t’embrassent fort.

     


    ...........................................................

     



    A la demande de mon Frère André, je publie le poème qu’il avait composé et lu le jour des funérailles de Pierre :


    Pour les funérailles de Pierre Bochet

    Le 18 avril 2001

    Pour dire un dernier «à Dieu»

    Tu étais notre petit frère ;

    Je me souviens, alors enfant :

    Tes yeux curieux et souriants, ton regard clair,

    Heureux de passer ensemble un moment.

    Des instants bien rares, éphémères ...

    Tu aimais les blagues, les bons mots et l'humour.

    Tu aimais marcher, ça oui, et tu aimais le foot

    Tu en as fais des aller et retour,

    Tu en as fait des montées, des descentes

    En chantonnant souvent de Saint Jean aux Castors.

    Ta bouffée d'oxygène c'était chez les parents :

    Ils t'ont jamais lâché, j'en suis sûr, aucun doute.

    Et tu rentrais chez toi, des Castors à Saint Jean.

    Tu as fait de ton mieux pour remonter la pente.

    Tous ceux qui t'ont connu, Pierre, sont pas près d'oublier

    Le garçon au grand coeur, au sourire qui sentait bon la vie.

    Qui ne critiquait pas, qui voyait pas le mal ...

    Qui avait ses défauts, ses faiblesses, mais qui était gentil.

    Je t'appelais « petit Pierre» tu m'trouvais rigolo

    Et tu me répondais « grand Dédé » aussitôt !

    T'étais imprévisible notre frérot, not' Pierrot !

    Qui est parti si vite ... et parti bien trop tôt.

    Tu vas retrouver pépé Bochet, mémé,

    Grand-parents Condamin

    Tes cousins disparus et les autres défunts.

    En ce jour douloureux nous nous serrons les coudes

    Tes parents, tes frangines et frangins,

    Et tous ceux d'nos familles, les amis, les cousins,

    Et nous voulons te dire, car l'espoir n'est pas mort :

    Cher frère Pierre «A Dieu»

    au revoir dans les cieux.

    André ton frère




     

     


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    Tu avais fêté tes 39 ans quelques semaines auparavant ; tu avais encore toute la vie devant toi.

    Tu marchais tranquillement, je t’imagine le sourire aux lèvres, peut-être même une chanson … tu marchais souvent en chantant.

    Pourquoi t’es-tu assis pour ne plus te relever ?

    Pierrot, il y a maintenant 8 ans que tu nous as quitté …

    Il ne se passe pas un jour sans que je ne pense à toi … sans que nous ne pensions à toi …

    Pourquoi nous as-tu laissé, abandonné ?

    J’espère du fond du cœur que tu as trouvé un monde meilleur, en attente de nous y accueillir un jour.

    De la part de toute ta famille et tes ami(e)s qui t’aiment.

     

     

     

     


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    Ensoleillé à Toutes et à Tous.




    Fin juillet, nous avons fêté en amoureux les 50 ans de mon Cher et Tendre.

    Pour l’occasion, je lui ai brodé ceci :



    Et cela :


     

    Anniversaire


    Je renouvelle mes remerciements à Mamou (http://mamou.over-blog.net/) pour ces 2 superbes grilles.




    Voilà … c’est tout pour aujourd’hui,  à demain, si on veut bien !!!

     


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  • Ensoleillée à Toutes et à Tous.



    Aujourd’hui pas de broderie … j’aimerais vous parler de mon frère André, prêtre, poète, musicien et chanteur …

    Il donnera, ce jour, accompagné par le groupe « Mélody » 2 récitals en hommage à Joe Dassin … en l’Eglise Notre-Dame de Cotatay au Chambon-Feugerolles (Loire)




    Une petite précision quant à « La flamme olympique sera allumée » Mon frère ne cautionne pas Pékin 2008 !!!

    « La "vraie" flamme olympique sera symboliquement projetée sur l'écran ! J'ai composé un poème sur la confiscation de ce grand symbole de paix et de compétition sportive entre les peuples depuis l'Antiquité, par les dirigeants maoïstes. »

     

    Il vous offre à Toutes et Tous, en avant première, ce poème :


    LA FLAMME DE LA DISCORDE
    Aux dirigeants de la République Populaire de Chine.

    Peut-on porter la flamme

    Symbole de paix et de fraternité

    Lorsqu’on est à la tête d’un pays infâme

    Où les droits de l’homme sont bafoués !

     

    C’est pourtant ce que veulent faire, effrontés

    Ostentatoires et sans vergogne

    Les successeurs du Grand Timonier

    Et leurs cerbères répriment et cognent

     

    Il ne faut pas, disent-ils, mélanger

    La politique et le sport !

    On ne peut laisser triompher

    En 2008 tyrans et dictateurs

     

    Quand la charte olympique proclame

    La dignité et la liberté des humains

    Peut-on accepter que des hommes et des femmes

    A des camps de travail soient contraints

     

    Le Tibet province chinoise, hélas

    Vous les envahisseurs maoïstes

    Qui avez sapé sa culture, son charisme

    Ne jouez pas les victimes, de grâce !

     

    Si vous n’avez pas sur les mains du sang

    Elles sont pour le moins sales et souillées

    Car vous emprisonnez moines et dissidents

    Vous aurez beau comme Pilate les laver

     

    Lorsque vous nous affirmez sérieux

    Que le « Dalaï lama avec sa clique »

    Est un agitateur dangereux

    Moins spirituel que chef politique

     

    Et la flamme s’élève au milieu des légions

    Policières de barbouzes et militaires

    Menacée, occultée, sans horizon

    Elle clignote, et pâlit manquant d’air

     

    Un spectacle affligeant, une hécatombe

    Indigne pour des pays de Droit

    De Coubertin risque dans sa tombe

    D’en mourir une seconde fois

     

    La charte millénaire s’y oppose

    Et les médaillés sont unanimes

    L’honneur des sportifs est en cause :

    On ne travestira pas ce Millésime !

     

    Jean André

     

    Il est extrait de son dernier recueil récemment publié :



    Vous pouvez retrouver Jean-André Belmonte sur son site :

    http://www.poeteman.com.fr/


    Je vous remercie de m’avoir lu jusqu’au bout !!!

     

     

    Voilà … c’est tout pour aujourd’hui,  à demain, si on veut bien !!!


     

     

     

     

     

     

     


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